Visite de Séville – Jour 2.
Jeudi 26 juillet 2018. Bus + une vingtaine de km à pieds…
Ce coup-ci, on est prêt pour prendre le bus de 9h00. Riche idée, il ne faut qu’une vingtaine de degré, ce sera très bien pour démarrer la journée.
Comme on descend place d’Espagne et qu’il est encore tôt, on y refait un tour pour voir les cartes au pied du bâtiment qu’on n’a pas vues hier en empruntant le corridor.
On ressort de là par les petits ponts,
et on se dirige vers la cathédrale puisqu’on a nos billet pour 11h15.
Sur la route (juste à coté), on s’arrête visiter les Archives Générales des Indes.
La partie ouverte au public fait la part belle aux apports des espagnols dans les pays conquis en terme de développement, en y apportant leur ingénierie agricole, militaire, défensive, industrielle, etc. Peu de commentaires en revanche sur les colonisations, les pillages d’or…
On file à la cathédrale, la plus large cathédrale gothique du monde.
Mais comme le centre est très chargé, ça paraît beaucoup moins immense que d’autres qu’on a pu voir (Alcobaça par exemple…). On y a vu le tombeau de Christophe Colomb et la tombe de son fils. Il y a même une orangeraie,
puis une tour de 97 m, la Giralda, au sein de laquelle la montée se fait sans marche (ou presque), mais par des pans inclinés à 17 %. Une fois en haut, on a la tête sous les cloches et des vues sur la ville.
On change de quartier en se dirigeant vers Santa Cruz.
On s’arrête à l’église San Salvador,
Puis on file au Metropol Parasol, construction originale de 2010, qui nous laisse partagés…
On monte même à la terrasse supérieure pour avoir une vue sur la ville…
Puis on se dirige vers la almeida d’Hercule…
On mangera sur cette place…avant de prendre la direction de l’expo de 1992.
En route, on voit la porte de la Macarena et l’église du quartier.
A peine plus loin, le parlement d’Andalousie.
Puis la torre de los Perdigones, seul vestiges d’une ancienne industrie. Du plomb était fondu en haut de la tour, et se solidifiait en billes en tombant dans un bassin dans le bas de la tour.
On arrive ensuite dans le secteur de l’expo universelle de 1992. Drôle d’impression… On ne sait pas trop ce qui est encore en fonction et ce qui est fermé. Il y a des bâtiments fermés, c’est sûr et ça manque globalement d’entretien. Toutes les jardinières suspendues qui devaient amener un peu d’ombre et de fraîcheur ont été abandonnées.
Apparemment seul le pavillon de la navigation est encore actif.
On repart en ville prendre notre bus. En route, on revoit plein de monuments vus aujourd’hui ou hier.
On passe devant le marché des artisans qu’on n’avait pas encore vu.
Puis on rentre en bus.
Un petit plouf à la piscine pour les enfants avant la fermeture, puis on va manger quelques tapas à Dos Hermanas pour clôturer la journée.
Vendredi, objectif récupérer des cartons simples et à vélo et gérer la logistique indispensable au retour en avion.